วันศุกร์ที่ 27 มกราคม พ.ศ. 2555

Galette des Rois
























La galette des Rois est un gâteau célébrant l’Épiphanie et traditionnellement vendu et consommé quelques jours avant et après cette date.
La galette des Rois, dans sa version la plus commune en France, est une galette de pâte feuilletée, simplement dorée au four, qu’on mange accompagnée de confitures ; elle peut également être fourrée avec diverses préparations : frangipane, fruits, crèmes, chocolat… Dans le Sud de la France, on appelle généralement "galette des rois" une brioche en forme de couronne (la version en pâte feuilletée étant qualifiée de "parisienne"). Mais on trouve aussi des galettes à base de pâte sablée dans l’ouest. Le gâteau des Rois est une brioche aux fruits confits
Coutume
La tradition veut qu’elle soit l’occasion de « tirer les rois » à l’Épiphanie : une fève est cachée dans la galette et la personne qui obtient cette fève devient le roi de la journée et a le droit de porter une couronne de fantaisie. Dans le circuit commercial, dans la seconde moitié du XXe siècle, les boulangers fournissent avec la galette une couronne en papier doré à usage unique. Plus traditionnellement chaque famille réalise et conserve une ou plusieurs couronnes artisanales.Il est dit que le bénéficiaire de la fève doit offrir la prochaine galette, cependant, aucune source fiable ne permet d'affirmer ou d'infirmer formellement cette tradition. C’est le plus jeune des convives, caché sous la table, qui décide de la distribution des parts.
Les gâteaux à fève n’étaient pas réservés exclusivement au jour des Rois. On en faisait lorsqu’on voulait donner aux repas une gaieté bruyante. Un poète du XIIIe siècle, racontant une partie de plaisir qu’il avait faite chez un seigneur qui leur donnait une généreuse hospitalité, parle d’un gâteau à fève pétri par la châtelaine : « Si nous fit un gastel à fève ». Les femmes récemment accouchées offraient, à leurs relevailles[1], un gâteau[2] de cette espèce.
Dans sa Vie privée des Français, Legrand d’Aussy écrit, que, dès 1311, il est question de gâteaux feuilletés dans une charte de Robert II de Fouilloy, évêque d’Amiens. Souvent même, on payait les redevances seigneuriales avec un gâteau de ce genre. Ainsi, tous les ans, à Fontainebleau, le 1er mai, les officiers de la forêt s’assemblaient à un endroit appelé « la table du roi », et là, tous les officiers ou vassaux qui pouvaient prendre du bois dans la forêt et y faire paître leurs troupeaux, venaient rendre hommage et payer leurs redevances. Les nouveaux mariés de l’année, les habitants de certains quartiers de la ville et ceux d’une paroisse entière ne devaient tous qu’un gâteau. De même, lorsque le roi faisait son entrée dans leur ville, les bourgeois d’Amiens étaient tenus de lui présenter un gâteau.
Origine
Un gâteau des Rois aux fruits confits.Lors des Saturnales (fêtes romaines sur la fin du mois de décembre et au commencement de janvier), les Romains désignaient un esclave comme « roi d’un jour ». Les Saturnales étaient en effet une fête d’inversion des rôles afin de déjouer les jours néfastes de Saturne, divinité chtonienne. Au cours du banquet (au début ou à la fin des Saturnales, selon les différentes époques de la Rome antique) au sein de chaque grande familia, les Romains utilisaient la fève d’un gâteau comme « bulletin de vote » pour élire le « Saturnalicius princeps » (Maître des Saturnales ou Roi du désordre). Cela permettait de resserrer les affections domestiques et donnait au « roi d’un jour » le pouvoir d’exaucer tous ses désirs pendant la journée (comme donner des ordres à son maître) avant d’être mis à mort, ou plus probablement de retourner à sa vie servile à l’issue de celle-ci. Pour assurer une distribution aléatoire des parts de galette, il était de coutume que le plus jeune se place sous la table et nomme le bénéficiaire de la part qui était désignée par la personne chargée du service (d’où l’usage toujours vivant de « tirer les rois »). Tacite écrit que, dans les fêtes consacrées à Saturne, il était d’usage de tirer au sort la royauté[3]. Étienne Pasquier a décrit dans ses Recherches de la France[4] les cérémonies qui s’observaient en cette occasion : « Le gâteau, coupé en autant de parts qu’il y a de conviés, on met un petit enfant sous la table, lequel le maitre interroge sous le nom de Phébé (Phœbus ou Apollon), comme si ce fût un qui, en l’innocence de son âge, représentât un oracle d’Apollon. À cet interrogatoire, l’enfant répond d’un mot latin domine (seigneur, maître). Sur cela, le maître l’adjure de dire à qui il distribuera la portion du gâteau qu’il tient en sa main, l’enfant le nomme ainsi qu’il lui tombe en la pensée, sans acception de la dignité des personnes, jusqu’à ce que la part soit donnée où est la fève ; celui qui l’a est réputé roi de la compagnie encore qu’il soit moindre en autorité. Et, ce fait, chacun se déborde à boire, manger et danser. »
C’est cet usage qui est passé jusqu’à nous. On en retrouve la trace non seulement dans le rituel de la galette des Rois, mais aussi dans la fête des Fous médiévale et des « rois et reines » des carnavals actuels.
Histoire
La Fête des Rois, de Jacob Jordaens, v. 1640-45 (Kunsthistorisches Museum, Vienne).Jadis, l’usage voulait que l’on partage la galette en autant de parts que de convives, plus une. Cette dernière, appelée « part du Bon Dieu », « part de la Vierge » ou « part du pauvre » était destinée au premier pauvre qui se présenterait au logis. Au Moyen Âge, les grands nommaient quelquefois le roi du festin, dont on s’amusait pendant le repas. L’auteur de la vie du duc Louis II de Bourbon, voulant montrer quelle était la piété de ce prince, remarque que, le jour des Rois, il faisait roi un enfant de huit ans, le plus pauvre que l’on trouvât en toute la ville. Il le revêtait d’habits royaux, et lui donnait ses propres officiers pour le servir. Le lendemain, l’enfant mangeait encore à la table du duc, puis venait son maitre d’hôtel qui faisait la quête pour le pauvre roi. Le duc de Bourbon lui donnait communément quarante livres et tous les chevaliers de la cour chacun un franc, et les écuyers chacun un demi-franc. La somme montait à près de cent francs que l’on donnait au père et à la mère pour que leur enfant fût élevé à l’école. Le royaume de France se partageait alors en langue d'oc où l’on fabriquait toujours un gâteau des rois (la recette de la pâte variant suivant les régions : flamusse de Bresse, patissous du Périgord, coque des rois ariégeoise, Royaume des cévennes, garfou du Béarn, goumeau de Franche Comté, etc.) et langue d'oïl où l’on préparait dès le XVe siècle un dessert de pâte sablée fourré de crème d’amandes qui devient plus tard une pâte levée à la levure de bière nommée gorenflot.
On tirait le gâteau des Rois même à la table de Louis XIV. Dans ses Mémoires, Françoise de Motteville écrit, à l’année 1648, que : « Ce soir, la reine nous fit l’honneur de nous faire apporter un gâteau à Mme de Brégy, à ma sœur et à moi ; nous le séparâmes avec elle. Nous bûmes à sa santé avec de l’hippocras qu’elle nous fit apporter. » Un autre passage des mêmes Mémoires atteste que, suivant un usage qui s’observe encore dans quelques provinces, on réservait pour la Vierge une part qu’on distribuait ensuite aux pauvres. « Pour divertir le roi, écrit Françoise de Motteville à l’année 1649, la reine voulut séparer un gâteau et nous fit l’honneur de nous y faire prendre part avec le roi et elle. Nous la fîmes la reine de la fève, parce que la fève s’était trouvée dans la part de la Vierge. Elle commanda qu’on nous apportât une bouteille d’hippocras, dont nous bûmes devant elle, et nous la forçâmes d’en boire un peu. Nous voulûmes satisfaire aux extravagantes folies de ce jour, et nous criâmes : La reine boit ! » Avant Louis XIV, les grandes dames qui tiraient la fève devenaient reines de France d’un jour et pouvaient demander au roi un vœu dit « grâces et gentillesses » mais « le Roi Soleil » abolit cette coutume.
Louis XIV conserva toujours l’usage du gâteau des Rois, même à une époque où sa cour était soumise à une rigoureuse étiquette. Le Mercure galant de janvier 1684 décrit la salle comme ayant cinq tables : une pour les princes et seigneurs, et quatre pour les dames. La première table était tenue par le roi, la seconde par le dauphin. On tira la fève à toutes les cinq. Le grand écuyer fut roi à la table des hommes; aux quatre tables des femmes, la reine fut une femme. Alors le roi et la reine se choisirent des ministres, chacun dans leur petit royaume, et nommèrent des ambassadrices ou ambassadeurs pour aller féliciter les puissances voisines et leur proposer des alliances et des traités. Louis XIV accompagna l’ambassadrice députée par la reine. Il porta la parole pour elle, et, après un compliment gracieux au grand écuyer, il lui demanda sa protection que celui-ci lui promit, en ajoutant que, s’il n’avait point une fortune faite, il méritait qu’on la lui fit. La députation se rendit ensuite aux autres tables, et successivement les députés de celles-ci vinrent de même à celle de Sa Majesté. Quelques-uns même d’entre eux, hommes et femmes, mirent dans leurs discours et dans leurs propositions d’alliance tant de finesse et d’esprit, des allusions si heureuses, des plaisanteries si adroites, que ce fut pour l’assemblée un véritable divertissement. En un mot, le roi s’en amusa tellement, qu’il voulut le recommencer encore la semaine suivante. Cette fois-ci, ce fut à lui qu’échut la fève du gâteau de sa table, et par lui en conséquence que commencèrent les compliments de félicitation. Une princesse, une de ses filles naturelles, connue dans l’histoire de ce temps-là par quelques étourderies, ayant envoyé lui demander sa protection pour tous les évènements fâcheux qui pourraient lui arriver pendant sa vie. « Je la lui promets, répondit-il, pourvu qu’elle ne se les attire pas. » Cette réponse fit dire à un courtisan que ce roi-là ne parlait pas en roi de la fève. À la table des hommes, on fit un personnage de carnaval qu’on promena par la salle en chantant une chanson burlesque. La galette proprement dite (pâte feuilletée plus crème frangipane) apparut au XVIIe siècle, Anne d’Autriche et son jeune fils Louis XIV en partagèrent une la veille de l’épiphanie de 1650.

Une galette des Rois entamée.En 1711, le Parlement délibéra, à cause de la famine, de le proscrire afin que la farine, trop rare, soit uniquement employée à faire du pain. Au commencement du XVIIIe siècle, les boulangers envoyaient ordinairement un gâteau des Rois à leurs pratiques. Les pâtissiers réclamèrent contre cet usage et intentèrent même un procès aux boulangers comme usurpant leurs droits. Sur leur requête, le parlement rendit, en 1713 et 1717, des arrêts qui interdisaient aux boulangers de faire et de donner, à l’avenir, aucune espèce de pâtisserie, d’employer du beurre et des œufs dans leur pâte, et même de dorer leur pain avec des œufs. La défense n’eut d’effet que pour Paris et l’usage prohibé continua d’exister dans la plupart des provinces. Quand vint la Révolution, le nom même de « gâteau des Rois » fut un danger et Manuel, du haut de la tribune de la Convention, tenta sans succès d’obtenir l’interdiction du gâteau des Rois (son nom fut même un temps remplacé par la galette de l’égalité), mais la galette triompha du tribun. Peu après, un arrêté de la Commune ayant changé le jour des Rois en « jour des sans-culottes », le gâteau n’eut plus sa raison d’être, mais cette disparition ne fut que momentanée car il reparut bientôt sur toutes les tables familiales dès que la conjoncture le permit.
 Un produit industriel de grande consommation
Plus de 80% des galettes des rois vendues à Paris sont des produits industriels que les commerçants (boulanger/pâtissier) se contentent de réchauffer
Galette des Rois เป็นเค้กฉลอง Epiphany และขายแบบดั้งเดิมและการบริโภคไม่กี่วันก่อนและหลังวันที่
Galette des Rois ในที่พบมากที่สุดในประเทศฝรั่งเศสเป็นพื้นของขนมพัฟ, เหลืองเพียงในเตาอบที่เรากินด้วยกันกับแยมและยังสามารถที่เต็มไปด้วยการเตรียมการต่างๆของ : อัลมอนด์, ผลไม้, ครีมช็อคโกแลต, ... ในภาคใต้ของฝรั่งเศสมักจะเรียกว่า"Galette des Rois"Brioche มงกุฎที่มีรูปทรง (รุ่นในขนมพัฟเรียกว่า"ปารีส") แต่ยังมีเค้กที่ทำจากขนมในทิศตะวันตก เค้กของ Kings เป็น Brioche ด้วยผลไม้หวานที่กำหนดเองเดิมมันเป็นโอกาสที่จะ"วาดพระมหากษัตริย์"เพื่อ Epiphany รุ่นนี้ : ถั่วที่ถูกซ่อนอยู่ในเค้กและผู้ที่ได้รับถั่วนี้เป็นกษัตริย์ของว​​ันที่และมีสิทธิที่จะสวมมงกุฎ จินตนาการ เข้าสู่การพาณิชย์ในช่วงครึ่งหลังของศตวรรษที่ยี่สิบ, ขนมปังให้เวเฟอร์ที่มีมงกุฎสีทองกระดาษสำหรับการใช้งานเพียงครั้งเดียว เพิ่มเติมแบบดั้งเดิมที่แต่ละครอบครัวผลิตและเก็บรักษาอย่างใดอย่างหนึ่งหรือมากกว่าครอบ artisanales.Il มีการกล่าวว่าผู้รับของถั่วที่มีให้เค้กต่อไป แต่ไม่มีแหล่งที่เชื่อถือได้เป็นหลักฐานหรือไม่มีการปฏิเสธอย่างเป็นทางการประเพณีนี้ เขาเป็นคนที่อายุน้อยที่สุดของผู้เข้าพักที่ซ่อนอยู่ใต้โต๊ะซึ่งกำหนดจัดจำหน่ายหุ้น
เค้กถั่วที่ไ​​ม่ได้สงวนไว้เฉพาะเพื่อ Epiphany เรามีอาหารค่ำเมื่อเราต้องการที่จะให้ความชุ่มชื่นที่มีเสียงดัง กวีของศตวรรษที่สิบสาม, เล่าความสุขที่เขาทำจากสุภาพบุรุษที่ให้การต้อนรับที่ใจดีของพวกเขาได้พูดถึงของเค้กถั่วที่นวดโดย Lady"ถ้าเราทำ Gastel เพื่อถั่ว' ผู้หญิงที่ส่งมอบเมื่อเร็ว ๆ นี้ถูกนำเสนอ relevailles [1] ของพวกเขา, เค้ก [2] จากสายพันธุ์นี้
ในชีวิตส่วนตัวของเขาฝรั่งเศส, Legrand d'Aussy เขียนว่าจาก 1311, มันมาถึงขนมเค้กในกฎบัตรของโรเบิร์ต II Fouilloy ที่โคนของอาเมียง บ่อยครั้งที่ seigneurial ได้จ่ายค่าธรรมเนียมด้วยเค้กเช่นนั้น ดังนั้นทุกปีใน Fontainebleau, พฤษภาคม 1, เจ้าหน้าที่ของป่าไม้ที่ประกอบในสถานที่ที่เรียกว่า"โต๊ะของพระราชา"และมีเจ้าหน้าที่และ vassals ที่อาจจะใช้ไม้ในป่าและ กินหญ้าฝูงของพวกเขามาเพื่อเป็นเกียรติและชำระค่าธรรมเนียมของพวกเขา newlyweds ของปีที่คนในบางส่วนของเมืองและของตำบลทั้งควรจะทำทั้งหมดที่เค้ก ในทำนองเดียวกันเมื่อพระมหากษัตริย์ที่ทำทางเข้าเขาเข้ามาในเมืองของพวกเขาพลเมืองของอาเมียงที่ถูกต้องส่งเค้ก
จุดกำเนิดเค้กของคิงส์กับผลไม้ confits.Lors การเลี้ยงฉลองพระเสาร์ (ที่งานเทศกาลของชาวโรมันในปลายเดือนธันวาคมและจุดเริ่มต้นของเดือนมกราคม), โรมที่กำหนดทาสเป็น"พระมหากษัตริย์ในวันที่" แท้จริงคือการเลี้ยงฉลองพระเสาร์เทศกาลบทบาทในการกลับรายการการพ่ายแพ้วันที่โชคร้ายของดาวเสาร์, เทพ chthonic ในระหว่างการจัดเลี้ยง (ที่จุดเริ่มต้นหรือจุดสิ้นสุดของการเลี้ยงฉลองพระเสาร์ที่เป็นไปตามระยะเวลาที่แตกต่างกันของกรุงโรมโบราณ) ภายในแต่ละสำคัญ Familia, โรมที่ใช้ในเค้กถั่วที่เป็น"การลงคะแนนเสียง"การเลือก"Saturnalicius princeps"(ปริญญาโทสาขาการเลี้ยงฉลองพระเสาร์หรือพระมหากษัตริย์ของโรค) นี้ได้รับอนุญาตเพื่อเสริมสร้าง affections ภายในประเทศและการให้"พระมหากษัตริย์ในวันที่"อำนาจที่จะตอบสนองความต้องการของเขาทั้งหมดในช่วงวันที่ (เช่นให้คำสั่งให้เจ้านายของเขา) ก่อนที่จะถูกฆ่าตายหรือแนวโน้มที่จะกลับ เหมือนคนรับใช้ชีวิตของเขาหลังจากนี้หนึ่ง เพื่อให้แน่ใจว่ามีการกระจายแบบสุ่มของหุ้นของเค้กมันเป็นประเพณีสำหรับอายุน้อยที่สุดที่ยืนอยู่ใต้โต๊ะและผู้รับผลประโยชน์ที่มีชื่อในส่วนที่ถูกกำหนดโดยบุคคลที่รับผิดชอบในการให้บริการ (จึงใช้ชีวิตอยู่ยังคงเป็น" วาดพระมหากษัตริย์") ทาสิทัส wrote ว่าในพิธีเฉลิมฉลองที่ทุ่มเทให้กับดาวเสาร์, มันเป็นประเพณีที่จะดึง ๆ [3] ค่าภาคหลวง Étienne Pasquier อธิบายไว้ใน Recherches de la ฝรั่งเศสของเขา [4] ซึ่งเป็นที่สังเกตพิธีเนื่องในโอกาสนี้"เค้กตัดเป็นเป็นหุ้นมากที่สุดเท่าที่มีได้รับเชิญที่เราใส่เด็กอายุต่ำกว่าตารางที่ ต้นแบบถามชื่อของ Phoebe (Phoebus หรืออพอลโล), การเป็นถ้ามันเป็นอย่างใดอย่างหนึ่งว่าในความไร้เดียงสาของอายุของเขาที่ควรจะเป็นตัวแทนของ Oracle ของอพอลโล ในการสัมภาษณ์นี้เด็กที่ตอบสนองการใช้คำภาษาละติน dominates (Lord, ต้นแบบ) เกี่ยวกับเรื่องนี้ในต้นแบบให้คำสัตย์ที่จะบอกว่ามันจะกระจายส่วนของเค้กที่เขาถืออยู่ในมือชื่อของเด็กของเขาเป็นความคิดที่มันตรงโดยไม่ต้องเคารพศักดิ์ศรีของมนุษย์จน 'ที่จะได้รับโดยที่เป็นถั่วที่คนที่ถือเป็นพระมหากษัตริย์ของ บริษัท แม้ว่ามันจะเป็นที่ต่ำกว่าในอำนาจ และทำให้แต่ละล้นด้วยอาหารเครื่องดื่มและเต้นรำ "
มันคือการใช้ที่ถูกส่งลงมาให้เรานี้ เราพบร่องรอยไม่เพียง แต่ในพิธีกรรมของ Galette des Rois แต่ยังในงานฉลองในยุคกลางของ Fools และ"กษัตริย์และพระราชินี"ของ carnivals ที่มีอยู่
ประวัติงานฉลองของ Kings, Jacob Jordaens, C. 1640-1645 (Kunsthistorisches Museum, เวียนนา). เดิมมันเป็นประเพณีที่เราแบ่งเค้กเป็นหุ้นได้มากเท่าที่แขก, บวกหนึ่ง หลังที่เรียกว่า"ส่วนหนึ่งของพระเจ้า""ส่วนหนึ่งของ Virgin"หรือ"ร่วมกันของคนจน"ถูกสำหรับคนยากจนคนแรกที่จะยืนอยู่ในบ้าน ในสมัย​​กลางบางครั้งเรียกว่าเป็นกษัตริย์ที่ดีของงานฉลองที่ขบขันในระหว่างมื้ออาหาร ผู้เขียนของชีวิตของ Duke Bourbon Louis II เดอเพื่อแสดงสิ่งที่ยำเกรงของเจ้าชายนี้ตั้งข้อสังเกตว่า Epiphany รุ่นที่พระมหากษัตริย์เป็นเด็กของแปดปีที่ยากจนที่สุดที่หนึ่งที่อาจพบในการใด ๆ เมือง เขาสวมเสื้อคลุมพระบรมรูปและให้เขามีเจ้าหน้าที่ของเขาเองที่จะให้บริการเขา ในวันถัดไปของเด็กก็ยังคงมีการรับประทานอาหารที่โต๊ะของ Duke และมีบริกรของเขาที่ถูกแสวงหาที่ยากจนพระมหากษัตริย์ ดยุคของ Bourbon เขา £ 40 และมักทั้งหมดอัศวินของศาลที่แต่ละคนฟรังก์และ Squires ครึ่งหนึ่งของแต่ละฟรังก์ ผลรวมของจำนวนเกือบหนึ่งร้อยฟรังซ์ได้รับการบิดาและมารดาของพวกเขาสำหรับเด็กควรจะนำไปโรงเรียน ราชอาณาจักรของฝรั่งเศสถูกแบ่งแล้วใน langue d' OC ที่หนึ่งยังคงทำให้เค้กของพระมหากษัตริย์ (สูตรสำหรับแป้งที่แตกต่างกันตามภูมิภาค : flamusse Bresse, patissous Perigord ariégeoise เรือของพระมหากษัตริย์, ราชอาณาจักร Cevennes ที่ garfou จาก Béarn, goumeau Franche - Comte, ฯลฯ .) และน้ำมัน langue d' ซึ่งถูกจัดทำขึ้นจากศตวรรษที่สิบห้าขนมขนมยัดด้วยอัลมอนด์ครีมซึ่งภายหลังได้กลายเป็นแป้งกับยีสต์ที่มีชื่อ Gorenflot
เราดึง Kings แม้เค้กให้กับตารางของ Louis XIV ในความทรงจำของเขา Françoise de เขียน Motteville ไป 1648 ปีที่ผ่านมาว่า"เย็นวันนี้สมเด็จพระราชินีที่ไม่ให้เกียรติเราที่จะทำให้เรานำเค้กไป Madame de Bregy, น้องสาวของฉันและฉันที่เราแยกกับ มัน เราดื่มสุขภาพของเขากับ hippocras เธอทำเราทำ "ทางจากหน่วยความจำเดียวกันอีกพิสูจน์ว่าต่อไปนี้การปฏิบัติที่ยังคงเกิดขึ้นในบางจังหวัดที่ถูกสงวนไว้สำหรับเวอร์จินมือข้างหนึ่งที่เรากระจายแล้วกับคนยากจน "เพื่อความบันเทิง King, เขียนโดย Françoise Motteville ปี 1649, Queen อยากจะแยกเค้กและให้เราให้เกียรติของการเป็นส่วนหนึ่งที่เราทำกับกษัตริย์และเธอ เรา FIMES สมเด็จพระราชินีของถั่วถั่วเนื่องจากพบว่าในส่วนของ Virgin เธอสั่งว่าเราควรจะนำขวด hippocras เราดื่มก่อนที่เธอและเราบังคับให้พวกเขาดื่มเครื่องดื่มเพียงเล็กน้อย เราต้องการที่จะตอบสนองความ Follies ฟุ่มเฟือยของวันที่และเราตะโกน : เครื่องดื่มราชินี! "ก่อนที่หลุยส์ที่ผู้หญิงที่ดีที่ถูกยิงถั่วที่กลายเป็นราชินีของฝรั่งเศสหนึ่งวันและสามารถขอกษัตริย์ต้องการที่เรียกว่า"พระคุณและความเมตตา"แต่"Sun King"ยกเลิกการกำหนดเองนี้
Louis XIV เสมอสะสมการใช้งานของเค้กสิบสองกลางคืนแม้ในขณะที่ศาลของเขาคือเรื่องมารยาทอย่างเคร่งครัด เมอร์เคียว Galant จากมกราคม 1684 ที่อธิบายไว้ในห้องที่มีห้าตารางหนึ่งสำหรับเจ้าชายและเจ้านายและสี่สำหรับผู้หญิง ขั้นตอนแรกซึ่งจัดขึ้นโดยพระมหากษัตริย์ที่สองโดยปลาโลมา ก็เอาถั่วที่ทั้งห้า ปริญญาโทที่โต๊ะม้าที่เป็นกษัตริย์ของชายและหญิงที่มีสี่ตารางราชินีคือผู้หญิงคนหนึ่ง จากนั้นพระมหากษัตริย์และพระราชินีเลือกรัฐมนตรีแต่ละคนในราชอาณาจักรเล็ก ๆ น้อย ๆ ของตัวเองและได้รับการแต่งตั้งทูตหรือทูตเพื่อแสดงความยินดีอำนาจเพื่อนบ้านและนำเสนอพันธมิตรและสนธิสัญญา Louis XIV MP มาพร้อมกับทูตโดยราชินี เขาเป็นโฆษกของเธอและหลังจากชมเชยสง่างามไปที่ Master ของม้าเขาถามการป้องกันของเขาที่เขาสัญญาว่าจะเพิ่มว่าถ้าเขาไม่ได้ทำโชคเขาสมควรที่จะ เขา เจ้าหน้าที่จากนั้นไปที่ตารางอื่น ๆ และในทางกลับสมาชิกของเหล่านี้มาพร้อมกับที่สมเด็จพระนางเจ้าฯ พระบรม บางคนของพวกเขาทั้งชายและหญิงใส่ในการกล่าวสุนทรพจน์และพันธมิตรที่นำเสนอของพวกเขาเป็นอาหารอันโอชะและปัญญา, allusions มีความสุขมาก, ตลกฉลาดเพื่อที่มันเป็นสำหรับการประชุม ความบันเทิงที่แท้จริง ในระยะสั้นกษัตริย์ที่ถูกขบขันมากที่เขาปรารถนาที่จะเริ่มต้นอีกครั้งในสัปดาห์ต่อไปนี้ เวลานี้ก็คือให้เขาลดลงเค้กถั่วที่ตารางของเขาและดังนั้นที่เขาเริ่มชมเชยของแสดงความยินดี เจ้าหญิงที่เป็นธรรมชาติของลูกสาวที่รู้จักกันในประวัติศาสตร์ของเวลาที่มีไม่กี่ใบที่มีการส่งเขาไปขอความคุ้มครองของเขาสำหรับกิจกรรมทั้งหมดของโชคร้ายที่อาจเกิดขึ้นกับเขาในช่วงชีวิตของเขา "ผมสัญญาว่าเขาเขากล่าวว่ามันให้ไม่ดึงดูดพวกเขา "การตอบสนองที่ถูกที่จะพูดกับข้าราชสำนักที่มีพระมหากษัตริย์นี้ไม่ได้พูดแล้วเป็นกษัตริย์ของถั่ว ที่โต๊ะของชายที่มีตัวละครที่เป็นงานรื่นเริงที่เดินผ่านห้องที่ร้องเพลงล้อเลียนเพลงคือ เค้กของตัวเอง (ครีมขนมมากกว่า frangipane) ปรากฏขึ้นในศตวรรษที่สิบเจ็ด, แอนน์ของออสเตรียและลูกชายของเขาหลุยส์ที่สิบสี่หนุ่มเป็น eve ของ Epiphany รุ่น 1650 ที่ใช้ร่วมกัน

 
Galette des Rois entamée.En 1711, รัฐสภาพิจารณาเนื่องจากการกันดารอาหารนอกกฎหมายที่แป้ง, เกินไปหายากหรือใช้เพียงการทำขนมปัง ที่จุดเริ่มต้นของศตวรรษที่สิบแปดที่มักจะส่งขนมปังเค้กของพระมหากษัตริย์ที่จะปฏิบัติของพวกเขา Bakers ประท้วงการปฏิบัตินี้และแม้แต่ขนมปัง intentèrent การทดลองเป็น usurping สิทธิของตน เกี่ยวกับคำขอของพวกเขาทำในรัฐสภา 1713 และ 1717, ขนมปังหยุดที่ห้ามมิให้และให้ในอนาคตชนิดของขนมใด ๆ โดยใช้เนยและไข่ในแป้งของพวกเขาและแม้กระทั่ง ขนมปังสีน้ำตาลกับไข่ การป้องกันมีผลเฉพาะกับปารีสและการใช้งานที่ต้องห้ามอย่างต่อเนื่องเพื่อที่มีอยู่ในต่างจังหวัดมากที่สุด เมื่อการปฏิวัติมาของชื่อ"เค้กของ Kings"มากคืออันตรายและมานูเอลของผู้พิทักษ์สิทธิของประชาชนของอนุสัญญานี้พยายามที่ไม่ประสบความสำเร็จในการห้ามเค้กของพระมหากษัตริย์ (ชื่อของเขาคือแม้เวลาเปลี่ยน โดยเค้กเท่าเทียมกัน) แต่เค้กชัยชนะมากกว่า Tribune หลังจากนั้นไม่นานพระดำรัสของชนมีการเปลี่ยนแปลงและ Epiphany ใน"ว​​ันนับจากวัน Sans culottes,"เค้กที่ต้องมีเหตุผลที่จะไม่มี แต่การสูญเสียนี้เป็นเพียงชั่วคราวเพราะมัน reappeared เร็ว ๆ นี้ในตารางทั้งหมด ครอบครัวทันทีที่สภาพตลาดที่มีใบอนุญาต

 
ผู้บริโภคในอุตสาหกรรมกว่า 80% ของพระมหากษัตริย์เค้กที่ขายในกรุงปารีสเป็นผลิตภัณฑ์อุตสาหกรรมที่ร้านค้า (Baker ขนม /) มีเนื้อหาที่อบอุ่น

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